Pathologies de la hanche traitées par votre chirurgien à Dunkerque et Grande-Synthe
Dr Antoine LAO, votre chirurgien orthopédique à Grande-Synthe et Dunkerque, a fait des opérations de la hanche sa spécialité. Il intervient dans divers types de pathologies.
L’arthrose, la pathologie orthopédique la plus fréquente
L’arthrose est l’usure du cartilage. Dès que cette usure a débuté, elle va se poursuivre, provoquant dans un délai variable la disparition du cartilage d’où les douleurs. Elle peut être liée à une sollicitation intensive, une malformation ou à des traumatismes répétés.
Le docteur Antoine LAO, chirurgien spécialiste des pathologies orthopédiques de la hanche, vous reçoit à l’hôpital de Dunkerque et à la polyclinique de Grande-Synthe afin de déterminer avec vous quelles sont les solutions les plus adaptées pour le traitement de votre arthrose.
A un stade précoce la viscosupplémentation et les infiltrations peuvent ralentir son évolution.
Afin de diminuer les douleurs, la hanche s’enraidie pour ne plus solliciter les secteurs douloureux, rendant difficile la montée en voiture, le laçage des chaussures, la montée des escaliers, la station assise prolongée…
La douleur siège dans l’aine, sur le côté de la cuisse, voir dans la fesse, avec parfois irradiation dans le genou. Devant un examen clinique atypique de la hanche, votre chirurgien peut effectuer une infiltration test avec un produit anesthésiant pour corréler les douleurs à une origine intra-articulaire de la hanche.
L’indication chirurgicale, c'est-à-dire la prothèse totale de hanche, est posée en fonction de la douleur, de la gêne fonctionnelle et de leur retentissement.
L’amélioration des couples de frottement, des matériaux et de la technique chirurgicale permettent d’envisager celle-ci à tout âge.
Pour aller plus loin :
Votre chirurgien de la hanche prend en charge l’ostéonécrose à Grande-Synthe et à Dunkerque
L’ostéonécrose aseptique de la tête fémorale est une pathologie de la structure de l’os qui perd ses propriétés mécaniques, la tête du fémur meurt par trouble la vascularisation.
La physiopathologie n’est pas complètement élucidée, toutefois elle peut être primitive, c’est-à-dire due à des microtraumatismes répétés, à l’origine de petites fractures multiples dans certains territoires de la tête fémorale ou due à des thromboses vasculaires (présence de caillot sanguin dans un vaisseau).
Elle peut aussi être secondaire, c’est-à-dire due à la prise de corticoïdes au long cours (maladie inflammatoire…), à un traumatisme, à une embolie gazeuse due à la présence d’une bulle de gaz dans un vaisseau, comme lors de la maladie des caissons, ou encore à une pathologie de le vascularisation (maladie de gaucher) ou du sang (drépanocytose) et bien d’autres pathologies…
Cette pathologie touche surtout l’homme d’âge mur, provoquant des douleurs importantes, souvent exacerbées lors de la flexion de cuisse.
Au stade initial, la radiographie est normale et seule l’IRM permet de confirmer le diagnostic.
À un stade plus tardif, la radiographie de la hanche objective une perte de la sphéricité de la tête fémorale puis une arthrose.
Chez le sujet jeune, au stade initial le forage peut donner de bons résultats mais l’évolution à plus ou moins long terme est inéluctable et seule la prothèse totale de hanche peut permettre d’amender les douleurs.
Le conflit fémoro-acétabulaire, une pathologie connue du docteur Antoine LAO
Le conflit fémoro-acétabulaire est une cause de douleur de hanche chez l’adulte jeune et reconnu comme cause d’arthrose précoce.
Il s’agit d’un conflit dynamique anormal entre le col du fémur et les parois de l’acétabulum (bassin), c’est un contact répété entre la zone de jonction tête/col du fémur et le rebord
acétabulaire, ayant pour conséquence des lésions cartilagineuses parfois associées à des lésions du bourrelet acétabulaire (véritable ménisque de la hanche).
Ce conflit peut être lié à une anomalie architecturale qui siège soit du côté fémoral (on parlera d’effet came), soit du côté acétabulaire (on parlera d’effet tenaille). Ce conflit peut être secondaire à une malformation (protrusion acétabulaire, séquelle d’épiphysiolyse) ou d’allure primitive.
Il s’agit d’une pathologie affectant les sujets sportifs sollicitant leur hanche dans de grandes amplitudes et de façon répétée comme les arts martiaux, la gymnastique, la danse, le rugby…
À la phase initiale, en l’absence de lésion cartilagineuse, l’arthroscopie de hanche peut être envisagée pour corriger ce conflit. Cependant, dès que l’atteinte arthrosique a débuté, l’évolution vers l’arthrose semble inéluctable. En fonction de l’âge et de l’exigence fonctionnelle, il faudra envisager soit un resurfaçage ou une prothèse totale de hanche.
Votre chirurgien, qualifié dans le traitement de la fracture du col du fémur
La fracture du col du fémur concerne essentiellement les personnes de plus de 60 ans. On estime que près de 50 000 personnes sont concernées chaque année en France. Un tiers des personnes de 90 ans et plus ont subi ou subiront un jour une telle fracture.
On distingue 2 types de fractures :
• Les fractures cervicales vraies touchant le col du fémur (fracture articulaire), accessible à un traitement chirurgical : l’arthroplastie totale de hanche (prothèse totale de hanche)
• Les fractures de l’extrémité proximale du fémur, type per trochantérienne, inter trochantérienne voir trochantérodiaphysaire, dans ces cas de fracture extra articulaire, une ostéosynthèse est souvent préférable en l’absence d’arthrose.
Ces fractures sont particulièrement fréquentes chez les femmes, elles sont souvent liées à l’ostéoporose, l’os perdant ses propriétés mécaniques. Un bilan régulier est nécessaire après 55 ans pour prévenir le risque d’ostéoporose. Un traitement préventif est disponible et l’activité physique régulière permet aussi de diminuer ce risque.
Les conséquences peuvent être préjudiciables à moyen voir long terme, l’urgence étant la reprise de la marche pour éviter toute complication liée à l’alitement, le traitement et la prise en charge de ces fractures doit donc être rapide.
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